Surtout lorsqu'on se fait accoster par des hordes cherchant à remplir leur bus ou leurs chambres.
Ceci étant dit, sur la façade de la gare, outre l'inscription équivalente bulgare, on peut lire "Gare centrale de Sofia".
Après une tentative infructueuse pour trouver un bus pour Rila, son parc national dans les montagnes et son monastère - un des endroits que j'avais repérés en Bulgarie - qui m'a vue me faire conduire dans les sous-sols de la gare jusqu'à un local assez louche, je m'empresse de quitter les lieux.
Faute de point d'information touristique dans la gare, choix d'une direction aléatoire dans le métro voisin (tout est en cyrillique, évidemment), arrivée vers le centre ville, plus précisément vers ce qui ressemble davantage à un quartier d'affaires entre luxueux hôtels et ministères en tout genre, avec une mignonne église au milieu.
L'église Hagia Nedelja. |
La même chose, vue de l'autre côté. Ajleden Aigah. |
Une relique des temps anciens. |
De l'eau bulgare. |
Ou comment surveiller/gérer la circulation (véridique). |
Le cours d'eau traversant Sofia. |
Des travaux. |
Etrange boutique murale typique (1) Tout et n'importe quoi. |
Etrange boutique murale typique (2) Vraiment n'importe quoi. |
Un truc religieux, pas le genre de choses qui manque dans le coin. |
La cathédrale Alexandre-Nevski. |
A l'intérieur d'un Carrefour. En Bulgarie. |
Finalement, par le plus grand des hasards, je le déniche dans un des arrêts de métro, à proximité de l'université.
On croise des touristes à Sofia, mais ils ne sont pas omniprésents, voire pas très visibles et les infrastructures qui leur sont destinées semblent assez peu développées - pas de plans de ville, ni de points touristiques (mais des panneaux invitant à composer un numéro de téléphone, variant selon l'opérateur, pour obtenir un complément d'information) à de très rares exceptions près (et c'est alors en bulgare et en cyrillique). Cela change des villes ultra-touristiques, mais force est de reconnaître que ça peut ne pas être très pratique.
Infos très gentiment fournis, hostel trouvé pour la nuit (9 euros/18 Lev) et c'est parti, plan en main, pour un tour... des toilettes de la ville (qui dura un bon moment). S'en suit une errance dans la ville, avec en vrac, un orage, l'acquisition de l'Alchimiste de Paolo Coelho (ou comment acheter en Bulgarie la traduction anglaise d'un romain brésilien), les résultats, plus tôt qu'anticipés, d'un concours.
N'étant pas dans une forme tant morale que physique étincelantes, vers 17h30 (il y a d'ailleurs, en Bulgarie et en Roumanie, une heure de décalage horaire avec la France), direction ma chambre pour la nuit (où mon accent me trahit une nouvelle fois, et le monsieur derrière la réception décidera qu'il préfère me causer en français).
Et voilà qui achève le résumé de cette ô combien passionnante journée.
Publié le 24/01/2014.
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