Jour 21 : Strasbourg, le jour d'après ; après toute chose, le mot de la fin.

Strasbourg, ses places, sa cathédrale, ses rues, sa pluie, son horloge incomprise, son parlement européen, ses librairies.

L'impressionnante cathédrale de Strasbourg.

La fin, après une escale chez une amie, qui, si elle lit ces lignes, se reconnaîtra, et que je remercie une nouvelle fois, débute par des déambulations dans la ville, des prises de photos des attractions locales, et, surtout, l'étonnement d'entendre la plupart des gens parler en français (ou en tout cas un truc s'en approchant... pas taper, Mylène, pas taper !).

La mystérieuse horloge astronomique de Strasbourg.
Et son temps apparent. Par opposition au
temps invisible. Qui est dans la brume.















Le soir, le temps viendra d'embarquer à bord de l'antépénultième train d'un voyage de près de quatre semaines, s'étalant sur 13 pays, de plus de 10 000 kilomètres de train et un petit millier en bus ; des souvenirs plein la tête, accompagnés de la perspective enivrante de rentrer chez soi, pour un temps.


Trois questions fondamentales restent à éclaircir : faut-il essayer de parler français ou anglais de prime abord, le pass InterRail est-il vraiment rentable*, et pourquoi est-il aussi difficile de trouver de l'Orangina dans tant de pays ?


* Tout dépend des pays et de la fréquence des trajets ; c'est extraordinairement rentable en Allemagne, pas vraiment en Croatie ou en Roumanie, où le réseau de bus est plus développé et pas vraiment plus onéreux.


Afin d'éviter tout débordement incontrôlé (à l'instar d'une agitation excessive de canette), je vais m'arrêter là. Si vous avez des questions/remarques/griefs/insultes à me transmettre, n'hésitez pas à laisser un commentaire.

Si vous n'avez rien de mieux à faire, vous pouvez toujours aller jeter un coup d'oeil sur mon blog, à propos de tout et (surtout) de rien, qui tournait au ralenti ces derniers temps à cause de celui-ci.


Merci d'avoir lu !
Publié le 01/07/2014. 

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